Cancer du poumon

 

Mercredi 16 octobre 2024. Tout va bien ! C'est pas fini. Resurveillance dans 6 mois. Mais ça va 

On va se reconcentrer sur la sclérose en plaques...

 

( Je viens de lire que Christophe Miossec va mieux aussi.. Il pense revenir.. Ravie !)

 

 

 

 

 

 

Mardi 15 octobre 2024 : demain médecin pour parler du scanner..  vivement que ça passe.. 

 

Samedi 12 octobre 2024 :

Rendez vous avec mon prof de lycée, vendredi prochain,  chez le kiné. 

C'est tres très étrange de le revoir. 

Mercredi Pneumologue....

 

Vendredi 11 octobre 2024 :  J'ai envoyé mes documents médicaux un peu partout. Avec accusé de réception. C'est votre travail et je cogiterai un peu moins.  Je suis sûre qu'il y a pire de moi. 

 

 

 

Jeudi 10 octobre 2024 : Rendez-vous mercredi avec le cancérologue. Selon moi, ça va mieux. 

J'espère qu'il parlera avec la neuro. Et si je peux reprendre un traitement contre la SEP..

Je viens d'avoir une révélation.. Tout est légal ! 

Je suis fière de moi ! C'est facile de mettre des fichiers ici 

Lundi 7 octobre 2024 : J’ai reçu les résultats du scanner. C'est bon. Pas contactée par le cancérologue . On va attendre.  Le généraliste saura mieux moi. 

 

 

 

 

 

Vendredi 4 octobre 2024 21h04: rien rien...  Lundi sûrement.

 

Vendredi 4 octobre 2024 : pas de nouvelles 9h31 . . 

 

 

Jeudi 3 octobre 2024 : Scanner thoracique réalisé en matinée. . Aucune nouvelle pour le moment.  L'examen a été rapide mais y avait de l'attente.  Une heure environ.. 

J'ai une nouvelle fois brillée. Je fais rire. C'est déjà bien.

Respiration ça va mieux.. J'ai récupéré.

On va voir les résultats.  

 

Cancer du poumon

A écouter ! Très bon message de Jean Louis Aubert 

 

 

Jeudi 26 septembre 2024 : dans quelques jours, je ne ferai pas la fière.

Un scanner thoracique.

Ça dure même pas 30 secondes. 

Le temps d'arriver à la maison, tout aura été déjà envoyé à mes médecins.

J'aurai tout sur mon téléphone.

Y a plus de suspens !

C'est chouette le net !

Avant on attendait si longtemps. Le médecin, je ne le verrai pas.

C'est sans contact humain. Un assistant s'occupe de nous. Et c'est tout. Le médecin est peut-être à l'étranger.

Le généraliste toujours prêt à répondre à mes questions et à me rassurer. 

 

Le généraliste va regarder.. Il sait que je vais l'appeler pour avoir son avis.

Si j'ai de nouvelles tâches, il va dire que je  verrai avec le cancérologue . 

Quoiqu'il arrive ils auront besoin de l'avis de la neurologue. 

Et moi, je dirais ça fait plus d'un an que je n'ai plus de traitement contre la SEP (Sclérose en plaques).

C'est fini les excuses,  on a des ministres maintenant. Ou il sourit ou il me demande si ça va.

 

 

 

 

 

Dimanche 22 septembre  2024

Les femmes confrontées à une séparation pendant leur cancer : "C'est l'expérience la plus traumatisante de ma vie"

dans 


https://www.lemonde.fr/intimites/article/2024/09/22/les-femmes-confrontees-a-une-separation-pendant-leur-cancer-c-est-l-experience-la-plus-traumatisante-de-ma-vie_6327599_6190330.html

 

Les femmes confrontées à une séparation pendant leur cancer : « C’est l’expérience la plus traumatisante de ma vie »

Les femmes ont six fois plus de risque de connaître une rupture amoureuse pendant un cancer ou une maladie grave que les hommes.

 

Par Wassila Belhacine

Publié aujourd’hui à 06h30, modifié à 06h40

 

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Luna Rabarot, chez elle, à Saint-Quentin-sur-Isère (Isère), le 16 septembre 2024.

Luna Rabarot se souvient avec effroi de l’absence de son mari pendant son parcours de soins. Souffrant déjà de rectocolite hémorragique, cette habitante de Saint-Quentin-sur-Isère (Isère), 28 ans aujourd’hui, apprend être atteinte d’un cancer du sein de stade 2, en juillet 2022. A l’annonce de la maladie, son mari marque ses distances, ne l’accompagne pas aux rendez-vous médicaux, s’absente régulièrement du domicile et questionne peu son épouse sur son état de santé. Indulgente, elle pense d’abord qu’il a besoin de temps. « Je me disais qu’il se protégeait, qu’il avait tout simplement peur. Je ne me rendais pas compte qu’un aidant devait être là dans tout le processus. Il s’est détaché petit à petit », raconte-t-elle.

En janvier 2023, entre deux chimiothérapies, son mari annonce ne pas supporter de la voir malade et la quitte pour une nouvelle compagne rencontrée au travail. Pour Luna Rabarot, c’est un véritable cataclysme : « Je me battais pour lui et notre fils. Avant de tomber malade, on avait prévu d’avoir un autre enfant. J’étais tellement vulnérable, je le suppliais de ne pas me laisser. » Elle poursuit : « Ma vie n’avait plus de sens, je n’avais plus de piliers, plus que le cancer. Cette rupture est l’expérience la plus traumatisante de ma vie. »

 

Cette défection lui inspire également un profond sentiment d’injustice. Le couple était propriétaire d’une maison et la jeune femme s’est retrouvée à assumer seule les charges du bien en attendant que le divorce soit prononcé plus d’un an après. « J’étais en arrêt maladie et je n’avais pas mon salaire plein. C’était dur financièrement, confie-t-elle. J’avais tout perdu, ma santé, ma famille et bientôt la maison, pendant que lui vivait sa meilleure vie avec sa nouvelle compagne dans un autre appartement. »

La situation de Luna Rabarot n’est pas rare. Une étude publiée par la revue Cancer, en novembre 2009, montre que, face au diagnostic d’un cancer, une femme a six fois plus de risques de connaître une rupture qu’un homme dans la même situation. Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont suivi pendant deux ans, aux Etats-Unis, plusieurs couples dont l’un des membres venait d’être diagnostiqué. A l’issue de cette observation, ils ont constaté que le taux de séparation s’élevait à 20,8 % lorsque la femme était malade, contre 2,9 % lorsque le patient était l’homme. Une autre étude américaine, publiée en 2015 dans le Journal of Health and Social Behavior, conclut à des résultats similaires. Pour autant, comme le signale Léonor Fasse, psychologue clinicienne à l’hôpital Gustave-Roussy, à Villejuif (Val-de-Marne), il faut être prudent : « Si le nombre de séparations est bien plus important lorsque la femme est malade, on ne sait pas toujours qui est à l’initiative de ces ruptures. » On ne peut donc pas en conclure que les femmes malades sont davantage quittées par leur conjoint que l’inverse.

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J'ai lu. Ne souhaitant pas me retrouver en prison. Je ne poste pas ici.

C'est très difficile la maladie et le couple. Je suis une ancienne sepienne.

J'ai pris l'habitude. 

Le côté cancer c'est le mot mort qui a été difficile. Toujours. Il est partout en plus.

Je m'en veux d'être malade mais j'ai rien fait.

Mon "vieil ami" dit que ça va. On se dispute encore pour rien. C'est que ça va. :) 

Je surveille et il a l'air d'aller plutôt bien. C'est la vie. 

Bon courage aux malades et aux aidants.

 

Un petit Miossec et ça va mieux. Parfois il fait chier quand même. Je reviens toujours à Christophe Miossec.  Idem pour mon ami. Il est 10h36, on est le 22 septembre 2024.  Je sais fragile les histoires. Là ça va. Après on verra.